Clinique Hippocrate

"Je trouve cet établissement très bien Chaque fois que j’y vais je trouve le personnel très professionnel La restauration je n’en ai jamais étais déçue ( après il y en aura toujours qui râleront Certes l’établissement n’est pas au mieux de sa forme mais des travaux sont réalisés En résumé je recommande cette clinique à 100%"

"Je fus hospitalisée la première fois en 1986, puis en 2002 deux fois et sans résultats extraordinaires car toujours atteinte de TCA, mon médecin m’envoie pour une hospitalisation à la Clinique Hippocrate en août 2024. Qu’elle ne fut pas ma grande déception en retrouvant cette clinique plus de 20 ans après en déclin totale, je dirais qu’elle était à peine propre des odeurs d’urine en se rendant au réfectoire et la cerise sur le gâteau une chambre d’à peine 10 m2 pour deux !!! Un scandale en psychiatrie. Je me suis rendue aux admissions puis une aide soignante m’a fait (re) visiter l’endroit ( une horreur en comparaison à ce que j’avais connu les trois précédentes hospitalisations !!!!!). Lorsque j’ai découvert la chambre avec un tout petit lit en mauvais état ( je souffre de fibromyalgie, je n’ose imaginer mes douleurs après une nuit passée ds ce petit lit qui m’a fait pensée à ceux que l’on voit ds les prisons ds les films ) et un morceau de tissu qui pendait pour séparer les deux lits ( absolument aucune intimité possible ) et toute petite armoire qui tenait à peine debout et impossible d’ouvrir les fenêtres alors qu’il faisait 35°, je vous laisse imaginer la nuit que l’on doit passer ds de telles conditions car après avoir découvert cette dégradation du standing que j’avais connu par le passé je décidais de repartir aussitôt, n’envisageant à aucun moment passer une seule nuit ds cette prison ignoble et sale. Monsieur le cadre de santé fut très désagréable, il n’était pas à l’écoute, et je semblais l’ennuyer fortement. Un mot sur le psychiatre dont je tairai le nom, il ne semblait pas très renseigné sur l’anorexie mentale et me prescrit des anxiolytiques et perfusions qui m’auraient assommée, en état de léthargie bref je déconseille fortement cette clinique qui fut très prisée à une époque mais qui malgré des prix exorbitants, n’est plus qu’un vieux reste de saleté mal entretenue. Allez plutôt à côté de Bordeaux deux cliniques très bien s’y trouvent et en bien meilleur état avec un personnel à la hauteur et fort sympathique. Fuyez Saujon !"

"Bonjour.tres bien .la restauration ne déçoit pas,il'y aussi activités intellectuelles et sortie en ville facile. Très joli coin verduree. La ville est multimodale commercialement. Je suis content de mom séjour."

"J'ai passé 2 semaines et demi au centre et je vous prie de prendre note de ces informations avant d'y aller ! Je vous donne mon avis, mon ressenti ainsi que ce que j'ai vécu. J'ai été accueilli par une personne adorable (celle qui fait votre entrée), souriante, qui m'a tout expliqué. J'ai été amené à Hippocrate et après c'est à moi de me débrouiller : on me donne les informations et il faut tout prendre en compte en 2 minutes. J'ai trouvé cela difficile. J'ai vu la psychiatre 20 minutes qui a tout de suite mis un diagnostic et à mis une tonne de médicaments dès le premier jour. Le dépaysement fut total et très difficile. Heureusement les infirmiers / infirmières sont habitué(e)s à toutes les situations, prennent du temps autant que possible pour nous aider. Le peu d'étoile que je mets est exclusivement réservé pour ce personnel là ! Ils n'ont que peu de moyens et font de leur mieux avec ce qu'ils ont! Je suis tombée sur une jeune psychiatre (j'ai trouvé ça très cool) mais je ne l'ai pas senti impliquée. Les rdv ne duraient que 10 minutes ; j'ai du mal à comprendre comment en si peu de temps elle pouvait se rendre compte de la façon dont la personne vit l'hospitalisation. Avec l'avis des infirmières j'ai pu en parler à ma psychiatre qui a pris un tout petit peu plus de temps. J'ai une maladie cardiaque donc chaque jour j'ai 5 médicaments à prendre + ma pilule contraceptive. Un jour j'ai compté : je prenais chaque jour plus de 21 médicaments. En soi, si c'est légitime pas de soucis MAIS chose qui me choque énormément : on ne vous dit pas ce qu'on vous donne et pire encore un matin on vous donne une posologie (quand la psychiatre vous la donne) et en fait entre temps les infirmiers ont une autre posologie! Comment voulez-vous suivre et être en confiance avec votre établissement? Ce n'est pas parce qu'on n'est pas bien que notre esprit n'est pas capable de nous permettre d'écrire chaque médicament. Potentiellement je me dis que si ce n'est pas fait c'est pour éviter de regarder ensuite sur internet mais ce n'est pas une bonne façon de faire. Je prends mon exemple : on m'a mis sous Tranxene dès le début et on me dit qu'il faut du temps pour l'arrêter : je ne l'ai jamais pris avant, j'ai rien demandé, aujourd'hui chez moi je dois le prendre encore : le matin 20 mg et le soir 10mg ; en fait on fait en sorte de nous shooter afin de ne plus réfléchir. De plus, une fois que le diagnostic est mis en place, le traitement aussi et bien il faut des rdv avec une psychologue pour travailler sur nos traumas?! En 2 semaines et demies j'ai eu 1 heure de rdv : est-ce assez? Bien sûr que non! Quand je m'en suis plainte on m'a demandé de voir avec le psychiatre qui m'a dit que c'était 30 minutes par semaine pas plus! En fait Hippocrate est fait pour donner des médicaments mais sans jamais régler le fond. Le reste du temps on doit s'occuper seule. On m'a vendu du rêve et j'ai été extrêmement déçue. De plus, on ne m'a pas prévenu que les thermes étaient fermés et c'était une des principales raisons qui m'a fait venir à Saujon! Et je ne suis pas la seule à ne pas avoir été prévenu. Que dire du ménage? En 2 minutes il est difficile de faire une chambre!! Je crois qu'il faudrait leur donner plus de temps et plus de monde. Pas de serpillere et pas de passage sous le lit pour certaines. De mon côté j'ai acheté des lingettes pour nettoyer de moi même. Pas de ménage le week-end. Attention aux douches : la salle de bain peut vite devenir une piscine. Je crois qu'il faudrait faire des travaux de remise à niveau (les placards ne se ferment pas), es fenêtres ne se ferment pas à clé, le mobilier est passé. Pour la cantine : alors il faudra m'expliquer pourquoi vous faites payer les fruits le matin?? On nous répète que c'est important de bien manger mais à 0,52€ la banane, avec en moyenne 4 semaines d'hospitalisation ça devient cher !! Même si ce n'est pas un 4* les plats restaient bons dans l'ensemble et variés"

"Pendant 2 mois 1/2 j'ai été hospitalisée dans cette clinique pour épuisement pro sévère Ce séjour m'a sauvée tant par la qualité des soins, du personnel soignant ASH compris. En tant que patiente de la clinique, nous avions accès aux thermes. J'en ai profité et cela fait un bien fou tant corporellement que psychiquement ! Pouvoir profiter du parc, des activités pour travailler la confiance et l'estime de soi, la relaxation, l'improvisation, le sport adapté, l'eau thermale combinés à une médication adaptée à la pathologie favorisent notre état. Et c'est une clinique ouverte permettant de sortir en journée tout en respectant les horaires des médicaments et des repas. Merci à l'ensemble des équipes des cliniques de Saujon. Géraldine RÊTE"

"Bonjour , Il y a bien plus de 12 ans que je suis venu dans votre établissement . La dernière fois à ma demande . Très bien reçu , le personnel était très à l écoute à cette époque là . Je ne me suis jamais plein et je vous en remercie car je vais très bien depuis ses années passées . Merci à toute l équipe qui était présent il y a plus de 10 ans et merci au psy , si je me souviens en espérant ne pas me tromper car cela est loin, il me semble que son nom était madame dress. Je ne sais si cela s écrit comme ça . Vous avez fait beaucoup pour moi . La preuve . Je regardais sur Google les infos et je suis tombé sur votre interview ou vous parlez des thermes . Bonne continuation à vous et je tiens encore à vous remercier ."

"Mon hospitalisation de trois mois a été bénéfique et salvatrice avec un personnel pour ma part bienveillant et des professionnels de santé compétents bien que difficilement accessibles. Néanmoins le suivi devient vraiment compliqué : cela fait aujourd’hui 10 jours que je cours après une ordonnance suite consultation MAÏA, j’appelle fréquemment et mon interlocutrice m’invite à envoyer des mails, elle même envoie des mails au médecin en question et pas de retour. Tout le monde a droit à des congés, mais la négligence pour des médicaments de l’ordre de ceux prescrits, ce n’est vraiment pas sérieux !!! Réponse : ma consultation a eu lieu le 18 juillet à 12h20 avec le docteur S*****S."

"Pour un séjour de 2 semaines mon fils après le 5ème jours n'avait pas encore vu de psychologue (complet) et ni le psychiatre. Nous allons voir comment va se passer la suite."

"Je ne comprends pas les avis négatifs ça fait ma deuxième hospitalisation bon ok j’ai eu du mal à m ´intégrer au début mais après au fil du temps l équipe soignante fait ce qu elle peux ce ne sont pas des super héros non plus Le cadre de santé peut paraître froid mais ce n’est qu’une impression car il es vraiment bienveillant Ceux qui ne sont pas content n’on qu’à aller dans une clinique vip Suivie par le dr Dubois un très bon thérapeute"

"J’ai été hospitalisée 1 journée 1/2 et cela m’a suffi pour me faire une opinion. Certains membres du personnel sont vraiment très agréables et gentils. Par contre, quand on vous allume la nuit, toutes les lumières dans le visage par deux fois de suite, je vous avoue qu’il est difficile de se rendormir. Faute à une stagiaire intérimaire non informée. Le Docteur qui me suivait, et que je ne mentionnerai pas hormis par son initiale qui est un D ne m’a pas donné tous les éléments concernant la thérapie que je devais suivre. N’a pas voulu lire le courrier adressé par mon psychiatre. Il a décidé que cela n’était pas utile. Il se croit tout puissant et omniscient. Et il m’explique qu’il sera toujours en retard, mais que c’est comme ça et que je dois m’y faire. Me fait signer des documents en me disant que la sécurité sociale les obligent à les faire signer, mais que quand même il est capable de savoir ce qu’il est en train de faire. Je n’ai pas pu lire ces documents car il ne m’en a pas laissé le temps .Il me demande de décider si oui ou non je souhaite être hospitalisée (j’étais venu pour les termes initialement). Que de surprise, en surprise par la suite, j’apprends que mon traitement a été modifié sans que j’en sois informée. J’apprends également que le nombre de Sismothérapies que l’on m’a annoncées au nombre de quatre par semaine, ne sont en fait que de deux par semaine, Mon hospitalisation d’un mois es-tu illusoire et sera certainement plus proche des deux à trois mois J’habite à plus de 600 km de cette clinique. Il était informer de ma situation, mais cela ne semble pas l’avoir perturbé outre mesure. Enfin, les personnes sont totalement livrées à elle-même au sein de cet établissement. J’ai même assisté à des personnes totalement, cédatées. et dormant dans des canapés avec leurs habits, laissaient voir leurs habits intimes. Cela m’a profondément choquée.. Où se trouve la dignité humaine ? Enfin, on vous fait une fouille complète de vos affaires pour éviter des tentatives de suicide mais on vous laisse totalement libre de bouger, d’acheter ce que vous voulez. Pour se protéger, la clinique vous fait signer une décharge disant que vous est ne tenterez pas de tentative de suicide pendant la durée de votre hospitalisation. MDR, On vous dit de ne pas conduire, mais on vous laisse les clés de voiture !!! Cela n’est que mon point de vue. Je pense qu’il y a certainement des psychiatres très performant au sein de cette clinique, en tout cas je l’espère. Pour ma part, le miens devrait réellement choisir entre son business et l’attention portée à ses patients. J’éprouve un profond soulagement d’être partie rapidement et d’être enfin admise dans une autre clinique qui elle, respecte l’ensemble des engagements qualités et la dignité humaine des patients. Je voulais soin de décider si vous souhaitez être hospitalisé dans cet endroit. Pour ma part, heureusement que je m’en suis rendu compte avant d’être moi-même mis sous perfusion car je pense que je n’aurais pas été en capacité de pouvoir choisir à ce moment-là."